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Un petit mot pour dire que toutes les histoires écrites ici sont des histoires vraies, rien n'est inventé.

mardi 25 mars 2014

Mouillée du nombril aux chaussettes

Dans ma jeunesse je suis allée deux ou trois fois monter les chevaux de l’oncle d’une amie. Ce jour là il pleuvait, on se dit alors qu’on va juste faire un tour à cru. Nous voilà donc partie, j’avais ma bombe, un k-way, mon pantalon d’équitation et mes grandes bottes en caoutchouc d’équitation. Rapidement j’ai eu la sensation d’être complètement trempée. J’avais la sensation que mon pantalon se gorgeait d’eau et qu’ensuite l’eau coulait pour aller remplir mes bottes. Plus le temps passait plus j’avais l’impression d’avoir une petite mare aux canards dans chacune de mes bottes. Quand on est à cheval les bottes, souvent pas parfaitement ajustées, descendent. La semelle n’est alors plus collée au pied, il y a un espace dessous. J’avais la drôle d’impression que ça faisait flop flop sous mes pieds, la mare aux canards je vous dis.
Quand on monte à cru on a toujours chaud aux fesses car on profite de la chaleur du cheval. Du coup je baignais dans un jus chaud, ça allait. A un moment arrive un passage difficile, on descend de cheval. Je me penche en avant, passe la jambe droite derrière moi par-dessus la croupe de mon gentil destrier chauffant, puis je me laisse glisser au sol. Et là, au moment où mes pieds touchent le sol, des geysers sont sortis de mes bottes ! Mes pieds en reprenant leur place ont chassé l’eau.
J’ai commencé à marcher, puis j’ai dû m’arrêter et vider mes bottes, car comme il restait de la place dans les bottes autour de mes pieds, il restait de l’eau… Du coup j’ai pris 5 min pour essorer mes chaussettes, je lave rarement mes chaussettes à la main, j’oublie toujours qu’elles peuvent contenir autant d’eau…
Bien que le chemin soit rude et que je marche énergiquement, sans les 400 kg de muscle de ma monture pour me réchauffer, je commence à avoir froid, y compris sous le k-way. Je profite d’une pause, pour lever mon k-way et regarder en dessous : horreur, l’eau est remontée par capillarité le long du pantalon et du t-shirt, j’en suis au nombril !
La balade a encore duré un moment et en rentrant j’ai pris 5 min aux écuries pour quitter presque tous mes vêtements les essorer puis de les remettre avant d’aller dans l’habitation de l’oncle de mon amie. Sans oublier, bien sur, de vider les maudites bottes !

jeudi 13 mars 2014

Quand c’est l’heure du gâteau d’anniversaire

Pour l’anniversaire d’une amie nous sommes parties quelques jours pour un week end prolongé. La veille de son anniversaire nous sommes allées commander un gâteau dans la boulangerie-pâtisserie voisine. Nous devons vernir le chercher le lendemain avant midi, heure de fermeture de la boulangerie.
Le matin de son anniversaire quand je me réveille j’entends qu’elle est levée et qu’elle regarde la télé. Je m’étire, je regarde l’heure à ma montre et là « Crotte de crotte il est déjà 11h30 », sacré grasse mat’. Je saute dans mes pantoufles et je fonce à la salle de bain prendre ma douche. En passant devant ma copine je lui dis que je me grouille, mais qu’elle aurait dû venir me réveiller. Quand je sors de la douche elle est encore en pyjama, je lui dis « Vite dépêche-toi, on va être en retard pour aller chercher ton gâteau d’anniversaire ». Elle me répond :
« Ben pourquoi quelle heure est-il ?
- Presque 11h40 !
- C’est bizarre me dit-elle, ma montre indique 9h30… »
Là je suis perplexe, mais il n'y a aucune horloge autour de nous pour savoir l’heure qu’il est réellement. Je finis par lui dire :
« Je ne vois pas pourquoi une montre à affichage numérique avancerait, par contre une montre à aiguilles qui retarde c’est courant. Les piles doivent être faibles elle se sera arrêtée quelques heures avant de repartir vaillamment ».
Du coup hop, elle saute dans ses vêtements et on court jusqu’à la boulangerie… enfin… on court les 100 premiers mètres et on fait le reste en marchant vite… On récupère son gâteau d’anniversaire, aux trois chocolats, s’il vous plait ! On rentre et on met le gâteau au frigo. Vu l’heure, on commence à préparer le repas, elle me dit qu’elle n’a pas faim ce qui est super rare chez elle. Alors qu’on est là à tourner dans la cuisine, elle me dit « Regarde il y a une horloge sur le four elle indique 10h30… comme ma montre… ». Mince alors ! Puis elle ajoute « maintenant que j’y pense tout à l’heure quand je regardais la télé c’était bien les dessins animés qui passent à 9h30, et comme je te l’ai dit je n’ai vraiment pas faim ». Bon d’accord je dois me rendre à l’évidence il est 10h30. Qu’est ce qui lui a pris à cette montre de décider d’avancer de plus de 2 h !
On a trouvé plus tard ce qui était arrivé à ma montre, on a compris quand on a vu qu’elle afficher la date de 01/01. Quelques heures avant minuit elle a fait une remise à zéro complète et est repartie du 01/01 à 00h00. Quant à savoir pourquoi….
Bref, il est 10h30, je règle ma montre et nous retournons vaquer à nos occupations de vacances : vieilles BD et notre jeu vidéo favoris où mon amie doit être très concentrée si elle veut gagner plus de vies que je n’en perds…
Vient enfin l’heure du repas et, cette fois-ci, elle a faim. On va donc finir de préparer le repas et on passe à table. Après le repas arrive le moment du gâteau, miam !
Je me lève et je vais le chercher dans le frigo. Quelque chose me tourne dans la tête, comme une idée qui ne trouve pas la sortie… Ca me turlupine...  Je vais chercher le couteau pour couper le gâteau, je reviens à table, je vois ce gâteau à qui il semble manquer quelque chose… Mais oui mais c’est bien sur ! Des bougies, c’est un gâteau d’anniversaire, c’est son anniversaire et avec tout cet affolement je ne lui ai même pas souhaité !
Je lâche donc un énergique « Joyeux anniversaire ! ».
Elle me répond : « Ha ben oui c’est mon anniversaire, avec toute cette agitation je n’y avais pas pensé. ».
Je découpe le gâteau et le téléphone sonne. C’est sa mère qui l’appelle pour lui souhaiter bon anniversaire. Ouf à 2 minutes près ! Je m’en serai voulu de ne pas y avoir pensé avant sa mère….

Conseiller d’orientation

Quand j’étais petite je ne savais pas ce que je voulais faire plus tard. Au collège, puis au lycée je suis allée voir des conseillers d’orientation.
On dit que quand on fait une recherche concernant ses envies ou sa personnalité, ce qui en ressort à la fin c’est de toute manière ce qu’on avait en nous, mais qu’on n’avait pas clairement à l’esprit de manière explicite. Et bien là même pas... Ils n’ont même pas été capable de me dire ce que je savais déjà : plutôt orientée vers les sciences que les arts, plutôt technique que sciences humaines. Et encore moins sur des choses que j’ignorais à l’époque : serai-je plutôt du genre à bosser seule dans mon coin, à travailler en équipe, à rassembler le travail des autres ? Quant à ce qu’attendent naïvement les gens qui vont voir les conseillers d’orientation, c'est à dire des noms de métier (architecte, policier, guide de musée), ce n’était même pas la peine d’y penser.
Pour mon orientation, j’ai donc fait comme tout le monde : je me suis débrouillée toute seule. J’ai fait des classes préparatoires pour passer un concours. C’était très difficile pour moi, je n’avais pas un excellent niveau malgré tout le travail que je fournissais. Je me suis donc posé la question de ce que je pourrais faire en cas d’échec. J’ai choisi que ce serait un IUT. Seulement il en existait plein dans le domaine des sciences susceptibles de m’intéresser.
Je décide donc de retourner dans un centre d’orientation et d’informations pour avoir la liste des IUT qui existent. Arrivée là-bas je demande poliment cette liste. La personne que j’ai en face de moi me demande mon profil et ce que je fais comme études actuellement, je lui réponds et là commence une conversation sur-réaliste :
« Mais mademoiselle, vous n’allez quand même pas aller en IUT !
- ??
- Ben oui l’IUT ce n’est pas assez bien pour les gens qui seraient susceptibles d’entrer dans une grande école.
- Écoutez je ne suis pas là pour discuter de mes choix d’orientation, j’ai pris ma décision, je veux juste un renseignement.
- Ha non, non, essayez plutôt du coté de la FAC, ça serait bien pour vous de faire une maitrise.
- Mais non, je ne veux pas enseigner ou faire de la recherche, je veux du concret du pratique, si j’échoue aux concours je veux faire un IUT.
- Non je ne peux pas vous donner cette liste, ce serait gâcher votre potentiel.
- !!!!!!!! Aarg !!!!.... OK je reste calme : quand j’étais petite vos collègues ont toujours été incapables de m’aider à m’orienter, aujourd'hui que je sais ce que je veux vous ne me le donnez pas ! Vous servez à quoi ? »
Bon du coup j’ai vexé la dame qui m’a donné la liste, non mais !!!!!!!!!

Du cactus tu te méfieras

Un jour que j’admirais la déco chez une amie, elle me demande si je veux un de ses cactus. Il ressemblait à un disque vertical tout vert avec quelques très grandes épines et des poils un peu partout, le tout posé sur une petite boule qui lui servait de pied. Je ne le trouvais pas particulièrement joli et on a plusieurs plantes à la maison, j’ai décliné l’offre.
Mon amie a insisté, elle a dit qu’elle en avait marre, que quand elle l’arrosait elle se piquait toujours. Sa remarque ma laissé perplexe, car certes ses épines sont réellement monstrueuses, mais elles ne sont pas très nombreuses et il semble facile de ne pas aller s’empaler dessus en arrosant. Je me permets de lui faire cette remarque. Elle me répond d’une voix soucieuse :
« C’est pas les épines c’est les poils, je ne sais pas comment il se débrouille ce truc, mais je me retrouve toujours avec des poils plantés dans la main, je crois qu’il les crache… »
Mais bien sûr, et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier alu…
Je fais un grand sourire et je bredouille une réponse neutre. Visiblement trop neutre, parce que par je ne sais quel tour de magie je suis repartie de chez elle avec le cactus alors que j’avais dit non, je m’en souviens très bien.
Arrivée chez moi je pose dans un coin, avec la méchante orchidée qui ne voulait pas fleurir (j’ai fini pas la refourguer à cette amie, et bien sur, chez elle, l’orchidée fleurit…). J’arrose le cactus de temps en temps, il a de la lumière, il survit. Dans le doute je fais bien attention à mes mains en l’arrosant, je n’ai jamais eu le moindre problème.
Quelques mois après son arrivée à la maison le pied a pourri et le cactus s’est effondré. Il pourrait, peut-être, être sauvé, mais j’avoue que je n’y tiens pas, je pense le jeter. Je suis en train de préparer ma semaine de rando sans Monsieur Jimie et je n’arrête pas de courir de droite à gauche, je pose donc le cactus bien en vue dans la cuisine pour que le message subliminal soit clair : s’il te plait chéri va jeter ça dans le pourrissoir. 
Malheureusement Monsieur Jimie a du se souvenir des avertissements de ma copine et il se garde bien de faire quoi que ce soit. Zut ! Je me décide donc à attraper le cactus. Je le tiens par son joli cache pot, je vais au-dessus du pourrissoir que j’ouvre. Je tiens le cache pot d’une main, de l’autre je glisse mes doigts sous le cactus pour attraper le pot en plastique, il y a la place tout se passe bien, je ne me pique pas sur les grande épine ou avec les poils. Je sors le pot, le retourne au-dessus du pourrissoir, je secoue un peu et là tout tombe : le cactus et sa motte de terre, YES !
Bon ben voilà c’est fait… Tiens c’est bizarre pourquoi j’ai mal à la main droite, aïe ! Mais qu’est-ce que c’est ? Je regarde j’ai plein de petits poils plantés ! C’est vraiment très désagréable. En maugréant je fonce à la salle de bain et j’enlève à la pince à épiler tous les poils que je vois. Hélas, même après cette opération je sens que j’en ai encore plein la main, mais je n’arrive pas à les voir et donc à les enlever. Fais ch@#, euh je veux dire : saperlotte ! Bon je n’ai pas trouvé de solution, j’ai évité de toucher des trucs avec ma main droite le reste de la journée, super pratique, et le lendemain je ne sentais presque plus de gêne.
Moralité numéro 1 : faut pas se moquer des copines même si une histoire parait loufoque cela peut être vrai. Moralité numéro 2 : Faut se méfier des cactus !

jeudi 6 mars 2014

Comment j’ai terrifié une amie

Ça c’est passé quand j’étais au lycée. Je pars de chez moi à pied pour aller à une soirée pyjama. Je dois prendre le bus de 18h57, une amie doit prendre le même bus 3 communes plus loin, donc une bonne demie heure après. Elle sait comment aller chez la copine qui nous invite mais pas moi on s’est donc mis d’accord pour être bien en avance pour ne pas rater le bus. C’est l’hiver il fait nuit. Je marche tranquillement dans ma rue, quand je rate le trottoir et m’affale par terre. Ma tête heurte le sol et je me râpe tout le coté droit du front sur le trottoir. Quand je me relève je sens que je saigne. Je décide donc de rentrer chez moi voir ça. Il se trouve que c’est juste une égratignure, même si elle est large et qu’il y a du sang un peu partout.
Croyez le ou non, à l’époque nous n’avions pas de téléphone portable, du coup quand je vois que je n’ai rien de grave (bon ça pique un peu quand même) je me mets à penser à mon amie qui va s’inquiéter en ne me voyant pas dans le bus. Je regarde ma montre : trop tard pour mon bus. Mon père propose de m’emmener en voiture, en ligne droite on va plus vite que le bus qui fait le tour des communes. Un coup vite fait sur le visage pour désinfecter et enlever le sang et nous voilà partis. On arrive relativement tôt vers l’arrêt de bus de mon amie. La rue est bien éclairée, mais pas l’abri de bus qui se trouve sous les arbres, on n’arrive pas à voir si elle est déjà là, du coup on ralentit beaucoup. Soudain je la vois, mais…. Elle est en train de partir en courant !
J’ouvre la fenêtre et je l’appelle, elle s’arrête et revient vers nous. Elle monte dans la voiture et nous dit :
« Comme j’ai eu peur ! Je vois une voiture que je ne connais pas ralentir. Au volant je vois un homme que je ne connais pas et avec la lumière par-dessus il avait l’air d’un tueur (mon père est brun et très mince), et soudain à coté de lui je vois quelqu’un couvert de sang… J’ai eu la peur de ma vie »
Bah ouais expliqué comme ça on comprend qu’elle ait eu peur la pauvre….

A cloche pieds tu iras

Un jeudi soir fin juin, je m’occupe de ma jument. Je lui tiens un postérieur pour faire les soins. Des insectes lui piquent le ventre, ça l’agace elle veut reprendre ce postérieur pour aller se taper le ventre pour faire fuir les insectes. En tirant un grand coup fort, elle arrive à m’arracher le pied des mains. Comme elle est bien irritée, au lieu de poser le pied par terre elle le frappe au sol, sauf que… son pied atterri juste sur les trois derniers orteils de mon pied gauche. Elle a frappé fort, ça fait mal.
Il y a quelques temps cela m’était déjà arrivée, sur les mêmes orteils, ils avaient casés et j’avais été gênée très longtemps pour marcher. Là je sens que c’est pareil. La galère dans deux semaines et demie je dois partir pour 4 semaines de randonnée à cheval. Alors certes la plupart du trajet se fait à cheval mais le matin et le soir il faut pas mal cavaler pour préparer le cheval, de plus dans les descentes et chemins difficile on marche à coté pour aider le cheval… la poisse !
Je fais le minimum syndical pour la jument, puis je la remets au pré et je rentre chez moi avant que ça ne gonfle trop. J’arrive en boitillant, Monsieur Jimie me demande ce qui m’est arrivé. Je lui explique et je conclue par « J’espère que je vais pouvoir partir en rando, tu imagines la poisse que j’ai ». Et là il me répond «  Partir en rando ! Mais chérie on se marie dans 10 jours, tu vas pouvoir mettre tes chaussures ? Ne me dis pas que tu vas devoir te marier en basket ! »
Oups c’est vrai on se marie dans 10 jours, la tuile…. Je n’y avais même pas pensé, la honte…
Bon finalement je me suis tenu tranquille le week end et la semaine suivante. Monsieur jimie m’a aidé à m’occuper de la briseuse d’orteil, j’ai bougé le moins possible, on a bandé le pied tout de suite pour éviter qu’il ne gonfle et j’ai mis des baskets tous les jours pour soulager mon pied.
La veille du mariage, après les derniers préparatifs, je vais m’assoir sur le canapé avec mes chaussures, que j’avais heureusement commencé à casser avant l’incident. J’enfile la chaussure sur mes orteils encore bleus et boudinés : Yess ça rentre. Je prends mon inspiration et je me lève doucement : ouf le fait d’être sur des talons hauts ne fait pas trop mal, j’arrive à garder mon poids sur le gros orteil !
Du coup le mariage c’est bien passé avec de jolies chaussures. Et finalement la rando aussi.

lundi 3 mars 2014

La vendeuse diplomate

Je cherche un pantalon, je rentre dans un magasin de jeans. C’est la mode des tailles basses depuis plusieurs années, je sais donc qu’au moins neuf jeans sur dix sont mal coupés, ils sont tous droits. D’ailleurs la vendeuse en porte un, surement très cher et à la mode, mais s’il lui moule les fesse, il est très mal coupé à la taille. Elle doit mettre une ceinture pour qu’il tienne et il y a de très nombreux plis sous la ceinture. Plutôt que de chercher en vain, je vais lui demander un modèle bien coupé à la taille. Un modèle dans lequel je peux rentrer mes fesses et mes cuisses qui taille 38, mais qui a la bonne fourme pour venir se resserrer à la taille. Ben oui c’est con j’ai le bassin plus large que la taille, suis-je une extra terrestre ?
Elle m’amène plusieurs modèles : soit je ne rentre pas mes fesses ou mes cuisses dedans, soit je rentre bien mais la taille est tellement large que je peux y rajouter un ballon de hand. Ca me gonfle ! Elle me fait un compliment sur un de ces derniers, je lui réponds
« - non mais ça ne va pas du tout, regardez la taille elle est beaucoup trop large, on dirait un jean pour femme enceinte
- il suffit de mettre une ceinture
-ben oui je vais payer un jean la peau des fesses pour mettre ensuite une ceinture, ça va faire des plis, être inconfortable et puis ce n’est pas très beau. Vous n’en avez vraiment pas un seul qui soit prévu pour une femme ayant le bassin plus large que la taille ?
- Écoutez mademoiselle, je suis désolée, mais ce n’est pas de ma faute si vous êtres mal faite »

... Si, si la vendeuse m’a dit ça...

Qui est à l’appareil ?



Une conversation téléphonique qui est arrivée à une amie :
« -Allo
-Salut Margot c’est Estelle
- Salut Estelle, ça va ?
- Bien merci, ça te dit qu’on fasse un tour en ville samedi, RDV devant le ciné ?
- Oui ça me dit bien, bonne idée
- Super et ton cours hier ça c’est bien passé ?
- Quel cours ?
- ton cours de tennis, il est bien le prof ?
-… mais qui est à l’appareil ?
- ben Estelle, Estelle du lycée. Margot c’est bien toi ?
-… Estelle Machin ?
- … Ben non, Estelle Truc. Tu es bien Margot Bidule ?
- non pas du tout.
-… ha ben… excuse moi je me suis trompée de numéro, je me disais aussi que tu avais une drôle de voix »